voila voila la fin du chap 3 et ashita reli le Fir a rajouté des passage
Bonne lecture
Il ferma les yeux pendant un long moment et quand la nuit tomba, ils les rouvrirent. Il était redevenu noir mais le médaillon continua à briller un instant avant de s’éteindre…
Dans un claquement de doigts, ses vêtements blancs et noirs ceux qu’ils étaient au paravent.
Kalas observa sa blessure au bras droit, le bandit qu’il avait combattu ne l’avait pas tellement amoché mais la plaie c’était rouvert lors du dernier contre ses amis. Il se mit en route doucement, presque hypnotisé, pour rejoindre Vlad, Altaïr et Arthur.
Quand il arriva à la clairière où il les avait laissé, il les découvrit bien mal en point : Arthur s’était évanoui par terre sa tête appuyé contre un arbre, le visage blanc en sueur ; Altaïr gisait sans connaissance sur le sol ; seul Vlad gémissait par terre , encore conscient. Il était très pâle comme un linge, il avait du sang sur ses habits et autour de sa bouche, recroquevillé sur lui-même. Il n’avait pas remarqué Kalas. Celui-ci se paralysa à la vue de ses camarades et il tomba a genoux, la tête entre ses mains.
-Pardon… murmura t-il.
Une douleur foudroyante lui traversa tout son corps et du sang sorti de sa bouche. Ses yeux passèrent du rouge au noir, il essaya de ce contrôler mais il avait beaucoup de difficultés à y parvenir. Son médaillon, qui était caché sous son tee-shirt brilla violemment ce qui l’infligea une nouvelle douleur suraiguë.
Au bout d’un moment, le médaillon cessa de briller, il se releva, alla chercher quelques fioles aux liquides transparents et il s’approcha de Vlad, le regard, de nouveau noir, était vide de toute expression à part celui de la tristesse et de la douleur. Vlad le vit approché, il essaya de dire quelque chose mais il n’y arriva pas et commença à perde connaissance. Kalas lui tourna la tête et introduisait le liquide incolore dans sa bouche. Quand Vlad eut bu le breuvage, il hoqueta et ferma doucement les yeux avant de s’endormir. Puis, Kalas, fit boire le liquide à Arthur et à Altaïr.
Kalas s’agenouilla devant elle, elle était si pâle… Il lui caressa la joue et il repensa à l’autre jour
« -Il est triste… » Avait elle dit en parlant de Asvel, il se leva et serra les poings jusqu’à avoir les ongles enfoncé dans la peau.
Il alla s’asseoir sur un rocher qui était tout près d’eux. Des larmes scintillèrent sur ses joues à la lumière du ciel encore sombre.
Il regarda la lune et ferma les yeux. Quand il les rouvrit, ils étaient rouges sangs et son médaillon brilla de plus belle. Un léger bruit se fit entendre.
-Tu peux venir Frederic…. Dit-il sans même détourner la tête de la lune, sa voix était déchirée et mélancolique.
Un homme sorti des fourrés. Blond et un peu plus âgé que Kalas, il s’arrêta devants les trois jeunes gens de peur qu’ils se réveillent.
-Ne t’en fait… Approche, fit Kalas s’en tourné la tête, ils se réveilleront demain midi ou plus tôt.
Frederic s’approcha prudemment il fit son rapport.
-Nous avons retrouvé le corps de Fir mon seigneur, nous seront bientôt près…di-il
-Bien….préparé la avec tout le respect nécessaire même si elle est morte … répondit Kalas.
Frédéric hocha la tête puis disparu en un clin d’œil, en laissant Kalas seul.
Le vent se leva et un profond silence s’installa. Il descendit de son rocher et s’appuya à un arbre. Il veilla sur ses amis. Ils reprirent des couleurs et les yeux de Kalas redevirent noir et il cacha son médaillon sous son tee-shirt.
Kalas s’endormi peu à peu en pensant à Altaïr.
Il eu le temps de lui esquisser un sourire chaleureux avant de se perdre dans l’oubli de ses rêves...