Le retour de Raymond

Raymond entra dans la chambre, étrangement familiere. Knoll ferma la porte et partit ver son bureau comme il l'annonca. Raymond posa ses affaire sur le sol, et commenca a regarder la chambre de plus pres. Lorsqu'il eu finit d'observer la chambre, il n'alla pas voir le roi, mais alla dans les quartiers, visiter un peu les magasins. Raymond se sentait mal d'utiliser l'argent que son coté obscur avait prit en détruisant des vies, mais il se dit que c'était pour le bien de tous. Il commenca par acheter trois bougies dans un magasin d'objets. Et puis, dans un magasin non loin de la, une armure lui avait attiré l'attention. Une grande armure blanche brillait sur le présentoir. Raymond l'essaya et l'acheta, il demanda au forgeron de graver l'emblème de Begnion. Puis, il continua son chemin, ou il trouva plein de petite chose pour se sentir comme chez lui. Il trouva une lance de héros, l'acheta, et comme pour l'armure, demanda de forger l'emblème de Begnion, mais avec un petit quelque chose de plus, d'inscrire le nom de son père sur la lance. Après ses petits achats, il rentra au Chateaux, plus précisement dans sa chambre. Il installa les trois bougies sur un bureau dans le fond de la salle. Il se mit a genoux et pria, chacune de ces bougie represantant sa famille, décédé. Il continua a ranger ses affaires, comme le pantin d'entrainement pres d'un mur, ces armes qu'il avait déja sur un coin. Il attendait impatiament son armure et sa lance. Tout en place, il sortit de la chambre pour se diriger vers le bureaux de Knoll, mais en chemin, une jeune femme l'intrigua. Il la regarda une seconde et continua son chemin vers le bureau ou il cogna a la porte.

Knoll avait quitté le jeune homme et se dirigeait donc vers son bureau. Comme d'habitude, une tonne de papier s'empilait sur son bureau. Il s'y installa et à contre-coeur, il se mit au boulot. Après une bonne demi-heure, il n'avait toujours pas entendu cogné. Il se leva et alla donc vérifier si il n'attendait pas dehors. Il ouvrit la porte et fut soulagé lorsqu'il ne vit personne devant la porte. Il se serait mal senti s'il avait fait attendre Raymond. Il se réinstalla à son bureau et continua. Quelques minutes plus tard, il entendit congé. Il sauta de sa chaise et se dépêcha à aller ouvrir. C'était Raymond.

- Ciel, il était temps que tu arrive. Enfin, je peux remettre ma tâche à plus tard.

Dit-il en riant tout en se grattant le derrière de tête. Raymond le regardait faire puis éclata de rire. Tout les deux rire pendant une bonne minute.

- Tu dois penser que je suis un roi fainéant... et je le suis.

Puis, il rirent à nouveau pendant de longues minutes.

Raymond le regarda et se dit qu'il avait les bons choix jusqu'ici.

Raymond: Je ne le pensais pas mon Roi, mais je vois a votre paperasse que vous avez beaucoup de travail!

Raymond ria de plus belle, mais d'un coup, un mal au ventre le fesait souffrir. il s'écroula sur le sol, et tomba dans les pommes sous le poids de la douleur.

Knoll sursauta en entendant Raymond s'effondrer par terre. Quelques instants plus tôt ils riaient au éclats et maintenant, il se retrouvait par terre, apparemment inconscient. Il le transporta donc vers sa chambre. À mi-chemin, il réalisa un léger détails: Il ne savait pas quel chambre celui-ci avait choisi. Il les passa donc tous une après l'autre et comme pour faire exprès, la dernière chambre qu'il examina fut la bonne. Épuiser par le voyage, il commença par déposer le jeune homme sur son lit puis il s'assit à son tour sur une chaise de bois ordinaire. Il s'endormit malgré les minutes sa lutte contre le sommeil quelques minutes après s'être assit.

Raymond se reveilla enfin et vue Knoll endormie sur la chaise. Raymond le reveilla et Knoll le regarda.

Raymond: Ouf, je suis un fardeau pour vous mon roi, mais cette fois, quelque chose d'étrange vient de se passer. J'ai ressentie la puissance de mon coté obscur. Ca doit etre un effet secondaire de la séparation. Je peut le voir, le sentir, mais je ne peut rien faire pour empecher ces actions!

Knoll fut réveiller par Raymond. Mais au moment du réveil, c'était un détail qu'il ignorait.

- Quoi, on nous attaque!!? Tout le monde, AUX ARMES!! Défendons notre château et terrassons l'ennemi.

Il sursauta lorsqu'il n'aperçus que Raymond, le dévisageant.

- Ah, pardon. Je devais être trop pris dans mon rêve. Tu disait donc que tu pouvais le voir et le sentir. Que veux-tu dire par "tu le vois" ? Tu vois ce que lui voit ou bien tu le voit dans le sens tu vois où il est, ce qu'il fait?

Raymond ne savait que dire, c'était la premiere fois que ca lui arrivait.

Raymond: Tu sais que nous sommes la meme personnes, mais d'un coté different. Je crois que le voir est rare, je peut plus le sentir. Nous avons tout les deux la meme puissance, donc quand il utilise, je peut le sentir l'utiliser, et le contraire aussi, il peut me sentir. Mais je ne crois qu'il puisse voir ce que je fais, donc pas de soucis. Il faut juste commencer l'entrainement de la lance, l'épée et la magie au plus vite pour éviter d'avoir a utiliser cette puissance et qu'il ressente ma précense!

- Quand tu parles de «cette puissance», tu parles de quoi au juste?

Il pris une pause, réfléchissant à quoi dire.

- Puis comme je te l'ai dis, je seulement t'aider pour l'épée. Pour la magie, je peu en parler avec mon frère mais pour la lance, je ne connais personne qui manie la lance assez bien pour te donner des cours.

Raymond: Vous vous souvenez quand nous étions relié ensemble moi et mon double, il utilisa une puissance maléfique qui émanait de l'épée et qui fusionna avec nous. Quand nous nous sommes séparé, la puissance a été séparé en deux, mais nous pouvons la sentir car c'est la meme force. La lance, je crois que je peut essayer de m'entrainer tout seul. Et pour dire, si sa ne vous dérange pas, pour ne pas etre un fardeau de plus, je vais commencer cette entrainement tout de suite!

Raymond se leva de son lit et se dirigea vers la porte. Il l'ouvrit et se tourna vers son souverain.

Raymond: Merci de m'avoir accepté dans votre royaume sir, et de vous etes occupé de moi dans mes temps de faiblesse!

Sous ses paroles, il sortit et se dirigea vers le lieux d'entrainement.

Il le regarda le jeune homme se lever et partir avec entrain vers la salle d'entraînement puis sourit.

- *Les jeunes de nos jours...*

Il se leva à son tour et retourna à son calvaire qu'était de remplir tout les papiers administratifs.

Raymond fit un détour, il alla en ville chercher son armure et sa nouvelle lance au quartier des marchands. Et comme il le pensait, sa nouvelle lance et armure était prete. Ensuite il retourna a la salle d'entrainement ou il essaya d'enfiler sa lourde armure. Il avait beaucoup de difficulté a tenir droit dans cette lourde armure, habitué a porter de simple vetement. Quand il réussi a faire un semblant de porter une armure, il prit sa lourde lance et essaya de commencer a donner quelque coup sur un pantin, mais avec difficulté.

Knoll resta un bon moment confiné dans son bureau, signant papier après papier. Après une bonne heure ou deux, il tira sa révérence de ses papiers puis quitta le bureau, tout en prenant soin de bien barrer la porte. Il erre dans son château, sa demeure, un bon moment puis, ne sachant que faire, fit un tour à la salle d'entraînement. Ce qu'il vu lui déplut fort: Tout seul devant une pantin se tenait Raymond. Vêtue de son armure immaculé et sa lance digne des plus nobles guerrier de tout le continent, et s'exerçait contre un vulgaire pantin. Ça n'allait pas du tout: non seulement avait-il l,air d'un funambule sur la corde raide tellement il avait de la difficulté à bougé avec sa toute nouvelle armure, mais il risquait de l'érafler en chutant sur le sol. De plus, il risquait de faire de même avec sa nouvelle lance: un seul faut mouvement pouvait ruiner son arme. Il descendit à toute vitesse puis s'écria en entrant.

- Non, non, non et non. Ça ne va pas du tout. Que crois tu faire, t'entraîner avec ta toute nouvelle armure. De quoi auras-tu l'air sur le champ de bataille avec cette belle armure blanche recouvert d'entaille? Et ta lance, tu a débourser une fortune, j'en suis persuader, pour une telle arme et tu l'utilise pour un simple entraînement. Encore une fois, de quoi auras-tu l,air si celle-ci t'abandonne au moment critique dans un combat? Donc, ce que tu vas faire, tu vas te dépêcher à aller reporter ces reliques, bien entreposer dans ta chambre, et revenir me rejoindre ici. Une fois ceci fait, nous nous dirigerons vers l'armurerie où nous choisirons une autre armure, celle-ci plus légère que la précédente, et seulement une armure pour que tu puisse t'y habituer. Nous allons seulement travailler ta mobilité avec une armure sur le dos. Puis, progressivement, nous allons nous diriger vers une armure du même poids et la garder jusqu'à ce que tu sois aussi à l'aise avec cette même armure qu'en caleçon. M'as-tu bien compris soldat!?

Raymond recula d'un pas, surpris par l'entré fracassante de son seigneur.

Raymond: Oui, mon roi, j'y vais de se pas!

Il enleva son armure et la porta, elle et sa lance, dans sa chambre ou il a posa sur un mannequin, sa lance serrai sur le coin de la chambre. Il se dépecha ensuite a retourner a la salle d'entrainement pour ne pas faire attendre son seigneur. il arriva dans la salle ou son roi attendait.

Raymond: (essouflement) Désolé mon seigneur si je vous est fait attendre!

Il était fier de lui. Il lui obéissait pratiquement au doigt et à l'oeil. Pour l'instant ce n'est pas très grave, mais il va falloir remédier à cette situation si le besoin est. Il attendit à peine quelques minutes que déjà la jeune recrue se ruait vers lui, s'excusant du retard. À sa place, Knoll aurait probablement pris beaucoup plus de temps. Une fois réunis, il se dirigèrent vers l'armurerie, qui se situait une une bonne minute, voire même deux. Ils marchèrent côte à côte en silence.

Une fois arrivé, Raymond arqua le dos devant le forgeron tandis que celui-ci arquait le sien devant son roi. Le souverain s'adressa tout de même avec politesse à son forgeron, lui demandant une lance d'entraînement ainsi qu'une armure pas trop lourde qui conviendrait à un débutant. Le forgeron fronça les sourcils. La lance, pas de problème, il l'avait. Le problème était l'armure. Il s'exila un bon moment en arrière, éparpillant les nombreux morceau d'armure: casque, jambière, torse, avant-bras, gants, bottes, tous y était. Il faisait revenait en avant, jetait un coup d'oeil au jeune homme puis repartait en arrière. Il répéta le même manège avant de ressortir, un sourire de satisfaction sur les lèvres, avec toute les pièces de l'armure: la cuirasse, le haubert, les spalières, les canons d'arrière et avant-bras, les gantelets et finalement les jambières. Ça y était, le compte était bon. Par mesure de précaution, le forgeron demanda au soldat d'enfiler l'armure immédiatement, question de vérifier si tout allait convenablement. Tout allait, excepté la cuirasse, qui était un peu trop grande. Le forgeron s'empara de la pièce d'équipement et reparti en arrière. Il revint quelques chose de beaucoup plus adapté au corps du jeune homme. Knoll salua donc le forgeron, qui lui rendit la pareille. Raymond salua l'homme d'un léger coup de tête vers l'avant et ils repartirent donc vers la salle d'entraînement. Le jeune homme était bien évidement plus à l'aise avec cette plus petite armure qu'avec son armure de général.

Une fois arrivé dans ladite salle, Knoll laissa le jeune homme passer et le laissa à son entraînement. Il remonta et l'observa d'en haut.

Raymond vit le Roi partir et commenca son entrainement a la lance. Il avait peine et misère a tenir l'équilibre entre l'armure et donner des coups de lance. Il reussi quand meme a donné quelque sur le pantin. Il se concentra, mais rien n'y fit, il ne tenait pas l'équilibre, il devait améliorer sa position de l'armure. Il essaya de s'habituer au poids de l'armure, mais il se dit qu'il n'avait pas assez de musculature pour etre capable de porter une armure, une lance, une épée et un livre de magie blanche a la fois. Il se découragea assez vite, n'étant pas capable de tenir debout. Mais il décida de continuer, et prit la décision de prendre un peu plus de musculature, se disant qu'il serait capable de porter l'armure lourde avec un peu plus d'épaule. Il essaya de trouver un moyen de se faire plus musclé.

Knoll regardait le jeune homme s'entraîner de peine et de misère. Il y avait quelque chose qui clochait. Il n'était pas assez endurant pour l'armure, ce qui était comprenable: il ne c'était jamais entrainer, ou même musclé. Il arrive ici, presque la peau sur les os et, en enfilant une armure, il pense être aussi à l'aise qu'avec ses vêtements? Knoll alla à la rescousse de son protégé.

Il descendit en bas et entra dans la salle d'entraînement. Il s'approcha de Raymond. Celui-ci arrêta toute activité lorsqu'il vit son roi entrer. Knoll s'empara de la lance et la planta à côté.

- Bon, je vois que tu n'a pas l'habitude de l'armure. La moindre des chose serait de t'aider avec ça. Après tout, on peut pas toujours tout faire soi-même.

Raymond: Désolé sir, c'est juste que pendant toute ces années, enfermé dans mon propre corps, je n'ai pas eu beaucoup de temps pour m'entrainer. Je pourrais commencer par l'entrainement a l'épée sans armure, pour apprendre les techniques, et ensuite, remettre l'armure puis réessayer avec l'épée les techniques apprise!

- Tu pourrais faire ça. Personnellement, je m'habituerais dès que possible avec une armure pour que lorsque vient le temps de manier tes armes, ce soit une jeu d'enfant. Alors, Par quoi on commence?

Raymond: Oui, on pourrait, et si votre frère est libre, on pourrait lui demander de m'entrainer a la magie blanche, mais je peut mentrainer avec l'armure. Si votre frère est libre, je tiendrai a prendre l'occasion de m'entrainer a la magie blanche, mais sinon, je veut bien m'entrainer a porter l'armure!

- D'accord, on peut commencer avec ça est je le contacterai dans les jours a suivre.

Raymond s'inclina devant son roi et commenca son entrainement de l'armure en attendant la réponse de son roi. Il commenca a courir avec l'armure sur le dos pour essayer de mesurer le poids de l'armure.

Knoll regardait le jeune homme essayer le poids de ladite armure. Celle qu'il portait n'était pas très lourde mais le poids allait progresser jusqu'à ce qu'il puisse être aussi à l,aise avec une lourde amure qu'avec celle qu'il portait à l'instant. Il lui fallait de la mobilité ainsi que la défense que l'armure lui procure.

- Alors, comment te sens-tu?

Raymond arreta devant son roi. Il redressa l'armure.

Raymond: Oufff, je me sens quand meme a l'aise, mais c'est encore loin de la perfection. J'espere apprendre comment porter cete armure assez vite!

- Cela ne dépend que de toi. Allez, du nerf!!

L'encouragé, c'est à peu près tout ce qu'ils pouvait faire pour lui.

Raymond: Merci de l'encouragement mon seigneur!

Raymond continua a courrir pour se stabiliser avec l'armure. Puis il attacha son épée a son dos. In tenta de dégainai son épée attaché a son dos pour voir si il pouvait dégainer son épée avec rapidité.

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